Parents d'élèves de la Vallée Verte

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lundi, juin 7 2010

Luc Chatel: la question n'est pas celle des moyens

Puisqu'il y en a qui n'ont pas encore bien compris, on ré-explique sur France Inter ce matin:

- l'invité

- questions des auditeurs:

dimanche, janvier 31 2010

Reportage France 3 Alpes sur le Collectif Parents 74

A l'occasion de la journée de mobilisation du 21 janvier, le Collectif Parents 74 a fait l'objet d'un reportage pour le 19/20 de France 3 Alpes.

A voir sur le site de France 3 (de 5'34 à 7'48)

dimanche, janvier 24 2010

Les « désobéisseurs » : Des instit' au ban de l'école, France Inter

Dimanche 24 janvier, 9h, Émission Intersection sur France inter

Lundi 18 janvier 2010 : l’inspection d’académie de Limoges sanctionne un maître d’école de la Haute Vienne. Son tort : avoir refusé d’organiser des tests d’évaluation imposés par le ministère pour les élèves de CM2. Le maître a été suspendu, en attendant une éventuelle mesure disciplinaire. Comme cet instituteur limousin, ils sont 3000 enseignants ou directeurs d’école à refuser, ouvertement, d’appliquer certains dispositifs prévus par la réforme du primaire voulue par Xavier Darcos. Ils dénoncent le caractère « rétrograde » des nouveaux programmes. Selon eux, la volonté est désormais non plus d’ouvrir l’esprit des enfants, mais de les préparer à la compétition. Ils se présentent comme des « résistants pédagogiques « ou des « objecteurs de conscience pédagogiques ». Ils refusent par exemple de remplir le fichier informatique des élèves mis en place par le ministère. Ils refusent aussi d’appliquer le soutien scolaire tel qu’il est prévu par la réforme. Face aux sanctions, telles que des retenues de salaires ou des rétrogradations pour les directeurs, les « désobéisseurs » se sont organisés autour d’une charte. 3 000 enseignants l’ont signée. Face à eux, le nouveau ministre Luc Chatel se veut aussi intransigeant que son prédécesseur. Pour lui, le statut de fonctionnaires d’Etat impose des obligations aux enseignants, dont celle d’obéir aux directives. Entre les deux camps, le bras de fer ne fait que commencer. Les « désobéisseurs » : des instit’ au ban de l’école : c’est un reportage d’Emmanuelle Daviet et Jean-Pierre Pernel.

[En savoir plus sur le site de France Inter] [Ecoutez l'émission]

mercredi, septembre 30 2009

L'Education nationale va supprimer 16.000 postes en 2010 (AFP)

PARIS (AFP) - 30/09/09 20:38 L'Education nationale va supprimer 16.000 postes en 2010

L'Education nationale, qui reste le premier budget de l'Etat et emploie près de la moitié de ses agents, paiera le plus lourd tribut aux suppressions d'emplois en 2010, avec 16.000 postes en moins.

Comme l'avait dévoilé fin juin Xavier Darcos, le prédécesseur de l'actuel ministre de l'Education Luc Chatel, le nombre des départs en retraite non remplacés prévu dans le projet de budget 2010 est de 16.000, après 13.500 en 2009, 11.200 en 2008 et 8.700 en 2007. Au total, l'Education nationale emploie près d'un million d'agents publics et le budget de l'enseignement scolaire, le plus important de l'Etat, sera de 60,848 milliards d'euros en 2010 (+1,56%).

La philosophie générale est de "conduire le maximum d'élèves aux niveaux de compétence attendus", le budget fixant d'ici 2011 une cible de 66% d'une classe d'âge ayant le baccalauréat (taux atteint pour la première fois cette année, avec 66,4%).

Autres objectifs: "accroître la réussite des élèves issus des catégories sociales les moins favorisées" et des enfants handicapés, et "employer le plus efficacement possible" les enseignants.

Selon le ministère, la répartition des postes sera la suivante: 2.658 seront créés en primaire du fait de la hausse du nombre d'élèves et 144 dans le secondaire défavorisé; mais 600 postes d'agents administratifs seront supprimés et une économie sera faite sur 18.202 postes d'enseignants stagiaires. Ceci est un effet direct et déjà connu de la réforme de la formation des professeurs: pour sa première année d'application, à la rentrée 2010, les étudiants qui auront réussi le concours d'enseignant ne seront plus affectés en IUFM (Institut universitaire de formation des maîtres) mais directement en classe, ce qui permettra d'économiser les postes de stagiaires cités.

"La poursuite de suppressions qui viennent s'ajouter à d'autres déjà intervenues va dégrader les conditions de travail et réduire les possibilités du service public de faire face aux besoins et de lutter contre l'échec et les inégalités", a réagi à l'AFP le patron de la FSU, Gérard Aschieri.

Il fustige "des mesures très marquées par l'idéologie, et paradoxales: hier, Nicolas Sarkozy faisait un discours sur la jeunesse, mais ces suppressions, ce sont des postes en moins pour les jeunes".

"Si l'on compare ce que rapportent les suppressions de postes, environ 500 millions d'euros par an, et les mesures fiscales qui réduisent les recettes de l'Etat, par exemple 2,5 à 3 milliards pour la baisse de la TVA dans la restauration, c'est sans commune mesure", a-t-il fait valoir, déplorant qu'il n'y ait "jamais de débat sur l'efficacité comparée de ces choix".

En cette rentrée, syndicats d'enseignants et autres organisations du monde éducatif ont jugé que les suppressions de postes et moyens en cours avaient des effets négatifs: classes surchargées, manque de remplaçants, baisse de la scolarisation des moins de trois ans en maternelle, déficit de personnels accompagnant les enfants handicapés, problèmes d'affectations en lycées professionnels, insuffisance de professeurs de sport handicapant la pratique de certaines disciplines dont la natation, etc.

Ils ont aussi estimé qu'à partir de 2010 et surtout 2011, le boom démographique ayant débuté en 2000 se ferait sentir au collège et que les suppressions de postes en cours ne préparaient pas l'avenir.

jeudi, juin 25 2009

Encore 16.000 suppressions de postes à l'Education nationale en 2010

Pour mémoire il y en avait eu 11.200 en 2008, 13.500 cette année et il faudra donc compter avec 16.000 de moins en 2010.

Détails à lire dans Les Echos

Les syndicats appellent le nouveau ministre à un changement de cap (Dépêche AFP)

vendredi, mai 8 2009

Info ou intox: X. Darcos soutient les enseignants désobéisseurs!

Confidentiel Ouest-France: Xavier Darcos furieux contre certains universitaires

"Des fous qui cherchent des alliés". C'est ainsi que Xavier Darcos qualifient certains universitaires en grève depuis des semaines pour des revendications "auxquelles je ne comprends rien", ajoute le ministre. "Je ne sais même pas ce qu'ils veulent. Ces gens-là creusent leur tombe. A la Sorbonne, les inscriptions sont en chute de 20%. On leur offre l'autonomie; on les couvre de milliards... Pour une minorité, c'est une vraie névrose autodestructrice. Je serais prof du premier degré, je serais sans doute parmi les mecs qui gueulent. Mais, dans le supérieur, plus je plonge dans le dossier, moins j'arrive à comprendre."

A lire sur le site de Ouest-France

dimanche, mai 3 2009

Les collectifs parents-enseignants, nouveau cadre pour la protestation (Le Monde)

"Attention école en danger". Des parents et des enseignants ont défilé, vendredi 1er mai, sous cette bannière. Apparus à l'automne 2008, ces collectifs d'un nouveau genre, créés pour s'opposer aux réformes de l'école, montent en puissance. Tout l'hiver, ils ont organisé des manifestations très locales, avant de se chercher une visibilité plus nationale... Lire la suite sur le site du journal Le Monde

jeudi, mars 26 2009

Ordre de capitulation en rase campagne (Canard Enchainé, 25/03/2009)

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dimanche, mars 22 2009

Enquête Le Monde: L'école fait de la résistance

A l'évidence, la presse n'est pas la bienvenue. Une demande de reportage dans les écoles primaires de Rezé, petite ville paisible de la banlieue sud de Nantes, se solde sous vingt-quatre heures par une réponse sans appel. " Vous n'avez pas le droit d'aller dans l'école demandée. Ni dans aucune autre de la ville. Ni du département. " Visiblement, l'inspecteur d'académie de Loire-Atlantique ne tient pas trop à ce qu'on raconte qu'à Rezé, sur 140 professeurs des écoles, 80 sont des " résistants " déclarés. Qu'on en dénombre même plusieurs centaines dans le département – en France, ils sont quelque 2 000.

Cliquez ici pour lire la suite sur le site du Monde

Sarko redoute un "mai 2009" (Canard Enchainé, 18/03/2009)

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